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Sp�cial �lections 2003 |
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Votre avenir avec Jean-Charet
Vous pourrez lire dans la page suivante la
motion de Bernard Landry, premier ministre du Québec,
et la réaction de Jean Charest, chef du parti libéral.
Vous pourrez constater que M. Charest diverge dans son cheminement
politique.
Après la lecture de ces lignes, vous pourrez évaluer
votre avenir avec Jean Charest.
Le parti libéral veut l'adhésion du Québec
à la constitution de 1982
par Michel
Hébert.
Trois-Rivières
(PC) - Convaincu que les "québécois ne
demandent pas mieux que d'être canadiens", le parti
libéral de Jean Charest s'est doté samedi d'un
plan d'action qui mènera à l'adhésion
définitive du Québec à la confédération
canadienne. Du même souffle le PLQ renonce au terme
de "société distincte" et propose
d'enchâsser la "spécificité du Québec"
dans la Constitution en 1982.
"Se
qu'on a dans la tête, c'est l'adhésion du Québec
à la constitution de 1982", a déclaré
le maître-penseur de la nouvelle politique constitutionnelle
du PLQ, le député de Chapleau Benoit Pelletier.
"Les
Québécois ne demandent pas mieux que d'être
canadiens", a-t-il ajouté devant les 300 militants
libéraux qui ont vite adopté les propositions
Pelletier, à Trois-Rivières, samedi.
Le chef
libéral Jean Charest estime que les propositions du
PLQ correspondent aux souhaits des québécois,
il souhait donc "mettre la table le plus vite possible"
pour relancer les pourparlers avec Ottawa et les provinces.
Si possible, au court d'un premier mandat d'un gouvernement
libéral.
"C'est
possible dans un premier mandat, c'est ambitieux, mais moi
je veux des résultats après un premier mandat",
a déclaré M. Charest après l'adoption
par son parti d'un plan d'action et d'une nouvelle politique
constitutionnelle.
On ne
peut pas tout faire dans un premier mandat, a-t-il nuancé,
mais on va chercher à aller le plus rapidement possible.
On reconnaît que ces changements-là ne se font
pas en criant lapin.
Les positions
politiques du PLQ ressemblent à celles que proposait
l'ex-premier ministre Robert Bourassa dans l'accord du Lac
Meech en 1987. "C'est plus que Meech" soutiennent
les libéraux.
"Il
n'a jamais été question pour nous d'abdiquer
à nos obligations constitutionnelles, ceux qui disent
qu'on capitule sont dans l'erreur totale", a lancé
Benoit Pelletier, en répliquant ainsi au premier ministre
Landry qui assimile les objectifs du PLQ à "l'écrasement
tranquille du Québec".
Les stratégies
du PLQ se déploient sur deux volets; d'abord par un
plan d'actions favorisant des ententes administratives en
divers domaines. Ces ententes pourront être négociées
directement avec Ottawa ou au sein d'une nouvelle instance,
le conseil de la confédération. Les autres provinces
seraient déjà très favorables à
cette formule.
Une fois
le"terrain labouré", croit Jean Charest,
un climat favorable à la réouverture du dossier
constitutionnel pourra s'installer. Le PLQ propose dix modifications
constitutionnelles dont les plus importantes sont la spécificité
du Québec, l'octroi d'un droit de veto au Québec,
la sélection des juges à la Cour Suprême
et l'encadrement du pourvoir du fédéral de dépenser.
Le PLQ
renonce au termes "société distincte"
estimant que l'enchâssement de la "spécificité
fondamentale du Québec" aura la même porté
juridique.
La
Presse Canadienne, 2001
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Charest refuse le statut particulier au Qu�bec
Ottawa, presse canadienne
Finie la dictature du Québec sur les autres
provinces canadiennes, affirme le chef conservateur
Jean Charest!
M. Charest a précisé devant le Confederation
Club d'Ottawa où il a lancé la deuxième
phase de la construction de son parti, que le Québec
avait sa place au sein de la confédération
canadienne. Par contre, il n'est pas question de lui
accorder un statut particulier ni de proposer des changements
constitutionnels à court terme, a-t-il laissé
entendre.
Tournant ainsi la page sur l'époque de Meech
et de Charlottetown. M. Charest, jusqu'ici timide sur
sa position face aux revendications du Québec,
a refusé de promettre des changements constitutionnels.
La société québécoise continue
d'évoluer, malgré le fait que notre constitution
n'a pas changé comme on l'aurait voulu en 1987
a-t-il expliqué aux journalistes. Mais le Québec
n'a pas demandé la permission à personne
pour être ce qu'il est et prendre sa place.
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Ne votons pas pour l'A.D.Q.
Mario
Dumond le sait, un vote pour son candidat est un vote de moins pour
le Parti Québécois et cela fait passer le parti libéral
de Jean Charest en tête de peloton.
Mario Dumont, chef de l'A.D.Q., n'est pas sans savoir que le chef
du parti libéral Jean Charest a gardé la même
attitude, envers les Québécois (ses), qu'il arborait
à Ottawa en tant que chef du parti Conservateur.
Voici, rapporté dans le Journal de Montréal en 1995,
le contenu intégral du discours de Jean Charest devant le
Confederation Club à Ottawa où il a lancé la
deuxième phase de la reconstruction de son parti.
Les personnes ne vont pas voté pour les raisons suivantes:
religion, ne croit pas à la démocratie, l'indifférence,
ne veulent plus rien savoir, des gens qui disent que leur vote ne
vaut pas grand chose, je vais voter lors d'un référendum
seulement, plus çà change plus c'est pareil, etc.
Mais toutes ces gens ont contribué inconsciemment à
faciliter le travail du parti libéral du Québec de
faire de notre démocratie une risée, et par le biais
de leur indifférence à faire payer par tous les payeurs
de taxes le coût direct de cette fraude.
Donc, encourageons ces bonnes gens à supporter notre cause
et à voter Parti Québécois.
Le pass� est garant de l'avenir
L'h�ritage des lib�raux
Le parti Québécois a du mal à se départir
des gaffes des libéraux. Exemple: En 1994, lors de la conférence
des ministres des finances du pays qui se tenait à Montréal
le 2,3-02-1994 et au coeur de cette rencontre les taxes sur le tabac
et le transfert fédéral aux provinces étaient
des préoccupations de ceux-ci.
Le premier-ministre Jean Chrétien et son ministre des finances
Paul Martin, se sont engagés à garantir que le nouveau
paiement de transfert une fois établie sera respecté
par le gouvernement fédéral pour les 5 prochaines
années.
À Halifax, lors d'une première rencontre en décembre
1993, Mme. Monique Gagnon-Tremblay, du parti libéral du Québec,
et ses collègues des autres provinces, avaient exprimé
ouvertement leur opposition à ce que le fédéral
réduise le montant d'argent transféré aux provinces.
Pour le gouvernement du Québec, le transfert représente
près du tiers du budget total, c'est-à-dire que le
libéral provincial laisse le gouvernement fédéral
soutirer des québécois et québécoises
des sommes considérables en taxes et revenus de toutes sortes,
pour défrayer son coût de participation à titre
de membre de la confédération, et le reste transféré
au Québec.
Une autre partie de l'héritage libéral que notre
véhicule le Parti Québécois a de la misère
à se départir, la mentalité de la majorité
des dirigeants des Caisses de retraite, celle-ci a besoin d'être
changée.
Les dirigeants de plus de 1200 caisses de retraite du Québec,
placent la majorité de nos économies à l'extérieur
du Québec.
Des exemples qui démontrent la mollesse des libéraux
qui ne méritent pas un vote et encore moins un candidat ou
une candidate.
Les libéraux ont laissé une caisse d'une université
du Québec, à investir plus de $199 millions à
l'extérieur du Québec quand elle a investit dans les
entreprises du Québec un maigre $56 millions.
Une autre université du Québec n'a pas d'obligations
du gouvernement du Québec, ni dans Hydro-Québec, mais
$43.8 millions dans le gouvernement du Canada.
Une troisième a 1.1% de son avoir au Québec et 20.9%
dans d'autres pays et 23.2% en Ontario. Source du dossier complet:
ministère de l'économie et des finances du Québec.
N'oublions-pas que c'est nous les contribuables québécois
et québécoises avec nos taxes qui finançons
ces universités. Merci!
Les professeurs devraient se déniaiser et fouiller çà,
et l'enseigner aux étudiants comment les libéraux
privent de bons emplois et de bonne qualité de vie avec vos
proches en vous forçant à vous expatrier en dehors
du Québec. Qu'ils incitent leurs étudiants à
téléphoner aux gens qui ont le droit de vote dans
les comtés en élections et de leur dire les conséquences
d'ignorer leur droit de vote.
Exemple de personnes qui votent autre que Parti Québécois
ou qui ne vont pas voter pour les raisons suivantes: religion, ne
croit pas à la démocratie, l'indifférence,
ne veulent plus rien savoir, des gens qui disent que leur vote ne
vaut pas grand chose, je vais voter lors d'un référendum
seulement, plus çà change plus c'est pareil, etc.
Mais toutes ces gens ont contribué inconsciemment à
favoriser la victoire du parti libéral du Québec et
ont facilité son travail de faire de notre démocratie
une risée, et par le biais de leur indifférence à
faire payer par tous les payeurs de taxes le coût direct de
cette fraude.
Entre 1986 et 1996, plus de $200 milliards d'économies québécoises
ont été transigés hors Québec, plus
précisément à Toronto, par le biais de nos
RÉER ainsi que nos assurances, etc.
Source: livre de l'Action National, titre: Déportation de
nos épargnes.
Si les québécois, payeurs de taxes, exigent de la
transparence, rien de plus normal; on saura avec certitude où
va notre argent.
Au lieu que les journaux en grosses lettres et images nous hypnotisent
avec la saga (écran) du Stade et son toit, devraient plutôt
dévoiler le parti libéral, qui est la cause principale
de la majorité de la fuite de nos capitaux (taxes québécoises)
et ce même parti s'enfuie comme une pieuvre derrière
un écran d'encre. Québécois, québécoises
votons pour soi, votons Parti Québécois, occupons-nous
de nos affaires, une bonne partie de notre richesse est là.
Il suffit de la garder et de la faire fructifier au Québec.
En se débarrassant de la mentalité libérale,
et en serrant les ouïes des gestionnaires de nos caisses de
retraite, en fouillant leurs honoraires, et en posant les bonnes
questions, nous encaisserons des centaines de millions et même
des milliards de dollars.
Exigeons que la transparence soit obligatoire. Quand nous, les
payeurs de taxes québécois et québécoises,
découvrions que l'argent gagné à la sueur de
notre front, que des villes, universités et que des centaines
d'entreprises enrichissent Toronto, çà va barder.
Rien de mieux qu'une bonne information et de la transparence.
Nous n'aurions pas: J'aurais donc dû pas voter libéral
en 2002.
Comme un commercial à la télé dit:
Commençons, qu'on en finisse.
Principes de base pour l'élaboration d'un budget électoral
dans un comté
Avoirs |
Approximatif |
Compte à la caisse du comté: |
1000.00 $ |
Fiducie, 50% des redevances mensuelles: |
1000.00 $ |
Reste des redevances mensuelles à venir: |
500.00 $ |
Avance du DGE, 35% basée sur $43,000.00: |
15050.00 $ |
Campagne de financement électoral: |
5000.00 $ |
Vente de cartes de membres: |
1000.00 $ |
Dons sans reçus: |
100.00 $ |
Vente d'objets divers: |
100.00 $ |
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Total: |
23750.00 $ |
Prévoir 10% du budget pour imprévus. |
|
Prenez avis qu'un rapport des dépenses électorales,
avant d'être expédié au DGE, devrait être
logiquement vérifié par le National du parti.
Réservez une date au plus tôt à votre horaire
pour un rendez-vous avec le National de votre parti pour vérification
de votre rapport.
Pour l'élaboration de votre rapport, n'hésitez pas
à communiquer avec le National.
Comment construire un support de pancarte pour les �lections?
Plan de construction
PRÉVOIR
(1) Tournevis électrique sans fil avec bout carré.
(1) Agrafeuse T-50 et agrafes 5/8".
(1) Niveau de quatre pieds (4').
Pour un support de pancarte
(4) 2" X 3" X 8'.
(3) Forences: 1" X 3" X 8'.
(1) Forence: 1" X 3" X 8', coupé en deux.
(3) Piquets: 2" X 4" X 4'.
(14) Vis à bois: 3.5".
(6) Vis à bois: 1.5".
Pour de plus amples informations:
450-293-3562. (ADESN)
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