1-
Mot du Président
Syndrome du conquérant et du conquis (Qui prend pour son bourreau et d�fend sa cause)
La conquête de 1760 par les anglais a ouvert un débat
perpétuel entre les historiens d'allégeance souverainiste
et fédéraliste. En réalité le désaccord
entre les historiens pour donner un sens à ce qui est arrivé
aux francophones en Amérique du Nord au 18e siècle
serait facile à trancher s'ils tenaient compte de la mentalité
médiévale qui était la ligne de conduite à
l'époque. Le conquérant dépouille de tous ses
biens le conquis, lui enlève toute dignité, le prive
de ses droits, etc. En refoulant les francophones sur les terres
à titre de colons et en rendant le financement pratiquement
impossible à obtenir, si ce n'était que se jeter entre
les mains d'un usurier peu scrupuleux. Ces usuriers étaient
majoritairement francophones convertis aux conquérants anglophones
(syndrome du conquérant et du conquis: qui prend pour son
bourreau et défend sa cause).
Comme un esclave noir, dans une ancienne colonie anglaise, qui
travaillait dans la maison de son maître, qui disait: c'est
incompréhensible les dires des noirs qui travaillent dans
les champs et qui revendiquent leur liberté, moi je suis
bien. Voir le livre, "Les nègres blancs d'Amérique".
Le pacte qui a été signé au 18e siècle
entre les anglais (conquérants) et les français (conquis)
de l'époque, qui cause que les historiens ne s'entendent
pas qu'ils soient souverainistes ou fédéralistes,
n'est pas une alliance.
Pour les souverainistes, c'est un conflit, qui est et qui demeurera
temps et aussi longtemps que le Québec n'atteindra pas sa
souveraineté.
Les fédéralistes anglais oublient volontairement
et les francophones ignorent que lors d'un pacte entre les deux
parties inégales, ce n'est pas la satisfaction du supérieur
qui permet d'en comprendre le sens de l'histoire, surtout si ce
pacte lui confère sa position.
Est-ce d'un commun accort sublime entre les deux peuples que le
français fut interdit dans les écoles du Manitoba,
comment expliquer que John Diefenbaker premier-ministre, ait autorisé
les chèques bilingues, si non par le fait qu'ils étaient
jusque là interdits et Pierre Trudeau aurait-il eu à
faire adopter une loi sur les langues officielles, si les conquérants
(anglais) de l'époque ne faisaient que place pour l'anglais.
Les anglais de l'époque du 18e siècle avaient, presque
jusqu'au 20e siècle avec le pouvoir colonial, empêcher
le financement bancaire des marchands de langue française
en faisant de la sorte politiquement, ils poussaient vers les petits
commerce l'idéologie de survivance, une classe d'affaire
dynamique, qui ne demandait qu'à se développer et
devenir une bourgeoisie comme les autres. En 1900, M. Desjardins
a mis sur pied le système des Caisses populaires que nous
connaissons aujourd'hui pour contrecarrer les effets pervers de
la mentalité médiévale des conquérants.
La fameuse fatigue constitutionnelle des canadiens et des québécois
n'est qu'un prétexte supplémentaire pour ne pas admettre
la réalité. Que les historiens et les francophones
fédéralistes réalisent que le problème
québécois n'est pas constitutionnel mais qu'il est
historique, et que c'est pour cela qu'il ne disparaît et ne
disparaîtra pas. Ottawa, la Gazette et le réseau CTV
misent d'ailleurs a fond sur le désir de faire avec des immigrants
des nouveaux québécois sans histoire, afin de noyer
et de désolidariser des québécois historiques.
La phrase de Parizeau, le soir du référendum 1995
sur le vote ethnique et l'argent que le fédéral avait
utiliser en sa faveur, était de mise. Comme dit l'adage:
une personne qui pense tout haut représente plus d'une personne
qui pense tout bas. Dans le contexte présent c'est plusieurs
fois 1 million.
Que la propagande anti-québécoise des fanatiques
sub-urbains de CFCF, de William Johnston et son livre, de Stéphane
Dion qui a le syndrome de conquis et du conquérant (qui prend
pour son bourreau et défend sa cause). L'histoire vous pardonne
et avec une souveraineté au plus tôt par un vote dans
l'Assemblée National, l'histoire vous pardonnera.
On en lira plus dans Larose, Jean, titre: La souveraineté
rampante.
André Desnoyers, Président ainsi que tous les administrateurs,
vous souhaitent un Joyeux Noël et une Bonne et Heureuse Année
et à l'an prochain.

2- Histoire vécue par les français dans Bas-Canada (Québec)
À Londres le gouvernement libéral de Melbourne accepte
le projet d'unir les deux Canadas d'autant plus facilement que cette
idée avait été presque acceptée avant
même la mission de Durham.
 
3-
Faits divers
1842: Montréal ville adopte la formule de l'emprunt sur obligations
dans le but d'améliorer la qualité de ses services,
ceci dans le cadre du bicentenaire de la fondation et pour parer
à l'union des deux Canada, Bas et le Haut (18-02-1841 par
Edward Poulett Thompson) voir histoire vécue.
1842: Montréal ville pour sa nouvelle initiative de financement,
frappa la porte de la Banque de Montréal, mais en vain. Elle
n'avait pourtant besoin que de 2000 lbs ($8000.00). C'est alors
qu'elle se tourna pour la première fois vers la formule de
l'emprunt sur obligations.
1842: Pour coïncider avec le bicentenaire de Montréal,
grâce Mgr Ignace Bourget, les Jésuites seront de retour
au moyen de missionnaires résidants. Ils étaient à
la vie relieuse de Ville-Marie dès sa fondation.
Le 31 mai 1842, Montréal accueille 9 Jésuites dirigés
par un supérieur le père Chazelle.
En 1848, fondation du Collège Ste-Marie par les Jésuites
En 1841, lord Durand écrivait: la politique à suivre
avec les canadiens français s'établit selon les étapes
suivantes:
Les mettre en minorité, c'est-à-dire les subordonner
politiquement, leurs laisser cependant leur lois, leur langue, leur
religion, leur accorder même une juste représentation
jusqu'à ce qu'ils se fondent dans un grand tout anglais.
Voir mot du président.
Commentaire
Si ça n'auvait pas été de la religion,
nous ne serions pas ce que nous sommes aujourd'hui,
7 millions d'habitants au Québec. Au contraire
nous serions sombré dans un grand tout anglais,
et les voeux de lord Durand auraient été
exhaussés: voir histoire vécue, ces lois
furent abolies dans les années 1800. |
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En 1763, signé par le gouverneur Vaudreuil, l'acte qui cédait
la Nouvelle-France à l'Angleterre et devenait colonie anglaise
avec tous leurs droits et privilèges.
En 1763, une loi démographique après la passation
du pouvoir qui fut aboli après la deuxième Guerre
mondiale fin 1945. La loi stipulait: personne n'a le droit d'immigrer
en provenance de colonies françaises dans la nouvelle colonie
anglaise.
4-
DRAPEAU DU QUÉBEC
Identifier la source juridictionnelle du service rendu au citoyen
Le décret 9999-2002 oblige les institutions publiques québécoises
à déployer le drapeau du Québec.
Le 4 juillet 2002 marquait l'entrée en vigueur du Règlement
sur le drapeau du Québec. Si, depuis 1967, les ministères
et organismes du gouvernement ainsi que les écoles primaires
et secondaires étaient assujettis par décret à
l'obligation d'arborer le drapeau du Québec, bon nombre d'autres
entités publiques devront dorénavant déployer
ce drapeau.
Tout comme les institutions publiques fédérales (bureaux
de postes, des douanes, ministères, etc.) n'utilisent que
le drapeau du Canada pour identifier leur origine juridictionnelle,
il y a lieu de souhaiter que les institutions publiques québécoises
n'utilisent à leur tour que le drapeau du Québec pour
identifier leur source juridictionnelle. Le règlement oblige
aussi les institutions publiques québécoises qui ont
développé leur propre bannière à arborer
le drapeau du Québec et à lui accorder la place d'honneur.
L'application du règlement vise à faire mieux visualiser
par les citoyens la source juridictionnelle des services qui leur
sont rendus.
Règlement sur le drapeau du Québec.
http:/www.mrci.gouv.qc.ca/publications/pdf/reglement_drapeau_quebec.pdf
Avis
Un drapeau du Québec arboré avec fierté à
l'extérieur de votre résidence serait de mise en guise
de remerciement à tous les citoyens du Québec qui
ont contribué par leurs taxes à toutes les formes
de subventions, exemple: rénovation de logement ou de maison
à des fins familiales, vente de terrains à $1.00 pour
des compagnies, pourcentage de salaire payé, etc.
Pour nous permettre de poursuivre nos tâches d'organisation
d'un mouvement souverainiste, d'échanges, etc., nous avons
besoin de votre appui.
Sans le soutien de nos membres et sympathisants sur le plan financier,
nous ne pourrions assurer la publication du bulletin, ni toutes
les autres tâches et activités qui demandent un travail
quasi permanent.
Des façons de contribuer à notre projet de souveraineté,
peuvent être selon votre choix: achat de matériel divers,
parution de cartes d'affaire, abonnement, adhésion, ou financement.
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